Problématique

Un comité international d’experts réuni par le gouvernement britannique est tracassé par “le risque de résistance aux antibiotiques qui causera 10 millions de morts par an d’ici 2050, entraînant une diminution du PIB mondial de l’ordre de 2 à 3,5%”.

C’est ainsi que conclut le rapport rendu par un comité d’experts internationaux rassemblé par David Cameron et Jim O’Neill, ancien directeur économique chez Goldman Sachs. Les pays les plus touchés seraient l’Asie (4,7 millions) et l’Afrique (4,1 millions).

L’étude prédit également 390 000 morts annuels ainsi que 317 000 aux États-Unis. La résistance aux antibiotiques deviendrait la 1ère cause de mortalité dans le monde devant le cancer (8,2 millions), le diabète (1,5 millions), la diarrhée (1,4 millions) ou encore les accidents de la route (1,2 millions). « L’étude estime que 300 millions de personnes mourront de manière précoce d’ici 35 ans à cause de cette résistance aux antibiotiques ».

Elle est basée sur 2 études prospectives (en français « potentielles », « futures ») à la demande de la Commission par l’institut de recherche Rand Europe et la société d’audit KPMG.

« Financièrement, ça coûte beaucoup moins de prendre en compte la résistance aux médicaments que de ne rien faire. Nous enregistrons aujourd’hui 700 000 morts par an dans le monde, dont 50 000 en Europe et aux États-Unis » indique le rapport, appelant donc à la création de nouveaux médicaments.

La consommation mondiale d’antibiotiques par les humains a augmenté de près de 40% entre 2000 et 2010 précise le rapport. Parmi les bactéries montrant déjà des signes de résistance aux médicaments, nous retrouvons, selon l’étude, la Klebsiella pneumoniae (causant des infections respiratoires), le E. coli (bactérie intestinale, et le staphylocoque doré. Les rapports zoonotiques AMR de la Commission européenne mettent en avant un problème de santé publique et soulignent la nécessité d’agir.

Sources:

Antimicrobial Resistance: Tackling a crisis for the health and wealth of nations, Jim O’Neill, 2014; p. 4.
Antimicrobial Resistance in the Animal Health Strategy, European Commission, Dr. de Smet, 2009; p. 1-14.

Notre réponse

Les normes en matière d’hygiène sont très exigeantes dans de nombreux domaines tels que les hôpitaux, les laboratoires, les cabinets médicaux et dentaires et les écoles. Ces objectifs de propreté et d’hygiène spécifique sont devenus de plus en plus difficiles à rencontrer.

En cause? Les produits nettoyants chimiques et autres désinfectants qui ont été utilisés pendant de nombreuses décennies. Aujourd’hui, leurs limites, dégâts et désavantages deviennent clairs : ils provoquent des infections, et les patients en sont les victimes.

L’augmentation des infections nosocomiales dans les milieux hospitaliers en attestent. 700 000 infections par an en Italie, 103 000 décès annuels aux États-Unis où l’infection nosocomiale est l’une des 4 principales causes de mortalité (plus de décès que les victimes du sida, du cancer du sein et des accidents de voiture réunis) Ces infections impliquent des hospitalisations plus longues et coûtent très cher.

Face à ce problème, Probiotic Group tient à se positionner très clairement. Il existe des solutions. L’introduction de nouveaux produits et techniques de nettoyants pas seulement écologiques ou biologiques mais qui démontrent des preuves de réussite du processus.

Probiotic Group affirme avoir développé une gamme de produits permettant de rétablir la sécurité dans les environnements requérant de hautes normes hygiéniques.

La formule scientifique de nos produits permet de nettoyer de manière efficace les molécules organiques qui favorisent l’apparition de bactéries pathogènes.

Le même problème d’infection apparaît également avec les animaux et notamment dans des environnements tels que les élevages animaliers.

Stop à l’escalade des traitements chimiques! Il faut restaurer la balance du système microbien sur la peau et dans l’environnement des êtres vivants (médicaux, dentaires, soins personnels, ménagers, animaux domestiques, élevage animal et traitement de l’air, cultures…) avec des techniques à base de probiotiques et ainsi réduire fortement le risque de contamination des pathogènes.

Les produits issus de Probiotic Group ne sont pas des désinfectants et n’ont pas d’action biocide. Ils permettent d’enlever jusqu’à la plus petite particule de crasse.

Le résultat? La réduction des mauvaises odeurs, la stabilisation biologique des environnements et la réduction du risque de prolifération de bactéries nuisibles.

Sources:

La définition de pesticide est disponible sur le site web de la Commission européenne.
Source d’information du site web Portail Environnement-Santé.